C'est avec un peu de retard que nous reprenons notre histoire. Nous sommes donc partis visiter le nord de l'île en septembre. Nous sommes partis un dimanche en se dirigeant vers Koné pour assister à l'ouverture du festival des arts Mélanésiens. Ce festival réunit toutes les archipels de Mélanésie, Iles Fidji, Tonga, Salomon, etc...pour une semaine de festivités, danses, expo et autre manifestation culturelles.
Nous voilà donc en transit pour pic-niquer à la baie des amoureux vers la roche percée de Bourail :
Une petite plage "damé" de monde ! Nous établissons le campement :
Une fois notre petite demeure montée, nous pouvons à présent pic-niquer et pourquoi pas faire une petite baignade !
Sur le bord de mer, nous rencontrons des petits tas de pierres. Sans doute, quelques personnes auront voulu marquer leur passage.
Nous reprenons la route vers Koné où le l'ouverture du festival des arts Mélanésiens nous attends.
Bon là, dans le noir, difficile de prendre des bonne photos, à moins d'être un pro !
Bon par contre, en direct, ce fut quand même pas mal.
Après la cérémonie, le plus difficile, c'est de trouver un endroit où planter nos tentes. Il paraît qu'il y a un camping gratuit à Koné. Nous prenons donc une piste en terre direction la mer. Pour trouver la piste, il faut retourner juste à l'entrée du village et tourner vers l'ouest. Nous roulons dans la nuit pendant environ 15 min, et là, sous quelques cocotiers, le camping. Nickel ! Il y a des immenses farés pour abriter nos tente, des tables pour manger et même l'eau. Pourtant, c'est gratuit. Et en plus, c'est sur la plage ! Nous nous endormirons bercé par les vagues. Bonne nuit.
Après avoir bien dormis, le p'tit dèj.
Bon, il fait juste bon, nous suportons bien les polaires, mais Un p'tit déj, assis à table et vue sur la mer, c'est quand même...
Aller, en route !
Nous faisons donc route vers l'est en empreintant la fameuse route koné-tiwaka. En effet, c'est beau ! Nous pouvant apercevoir tout le long de la route les fameux stand où les gens vendent leur produit de leur production.
En fait, il n'y a personne qui garde vraiment les étalages, tu prend ce dont tu as besoin, et tu laisse l'argent dans la petite boite. Totale confiance ! Du coup, on n'a pas envie de se servir gratos et on laisse ce que l'on doit !
Nous en reverrons beaucoup plus sur la côte est.
En arrivant à Hienghene, nous allons donc vérifier si autour de la poule, il n'y a pas d'oeuf ! Nous grimpons sur les kanoés et en avant !
Derrière, un petit coin de paradis.
Puis de dos !
En fait, il n'y a pas d'oeufs derrière la poule ! Peut-être que c'est un coq !
Bon aller, on s'en va. Nous continuons notre ascension vers le nord-est. Mais ! Qu'est que l'on aperçois ? Il faut faire gaffe de ne pas oublier de s'arrêter !
Nous arrivons peut-être à l'endroit qui était désigné autrefois comme le bout du monde ! Là où la terre s'arrête et que si tu tombe u atterri tout droit dans les flammes de l'enfer ! Ou là où les sirènes te chantent des chansons que si tu les entends, tu ne peux pls jamais revenir en arrière ! Continuons pour voir...
ahhhhh non ! C'est le fameux bac de la Ouaième ! Le dernier en Calédonie qui permet de traverser la....quoi déjà ? Ah oui ! ben ... la Oaième, comme c'est marqué dans le titre !
A y est ! Il arrive !
Dis papa ? T'en a d'autres des comme ça ?
ça, c'est pour les mordus des techniques modernes : Double transmission axiale 4 temps avec paliers vulcano-statiques à variation constante et arbre en merconium traiter dans un bain de pentachlorure de fer (c'est plus solide !)
Guidage GPS de la trajectoire avec reconnaissance automatique de la direction du courant et calcule de la vitesse du vent pour contrer les efforts radiaux.
C'est beau le higt-tech !
Bon aller, trêves de bizarreries, on continu...
Et là, enfin, nous arrivons sur la terre promise, LA plage dont tout le monde nous parle, où tout le monde va pour les vacances, celle qui est damé de monde et où tu ne peux pas poser ta serviette tellement y des gens !
Ben ! ils sont où les gens ?
